Ballon rond, fièvre de l’or et deuil impossible. Je retrouve la belle salle de L’Arlequin pour une (excellente) journée fictions. Un petit café entre chaque film et je résiste fermement à la tentation de goûter aux petites douceurs brésiliennes proposées au bar…
Festival
Ouverture manquée, danse, favela et nouveau western. En avant toute ! Pour sûr, un festival qui débute le 1er avril a tout l’air d’une bonne blague. Cependant les coups d’état ne s’embarrassant guère du calendrier, celui qui s’abattit sur le Brésil en 1964 eut tout loisir d’y faire son nid douillet durant près de vingt ans.
Oyez ! Oyez !
Cette année c’est sur les Champs Élysées, au Publicis Cinémas, que la 8e édition du Festival du Film Coréen à Paris installe ses quartiers d’hiver et ce, du 29 octobre au 5 novembre 2013.
Oyez, oyez !
Ce n’est pas parce que cette année je ne vais malheureusement pas y aller qu’il faut vous en priver.
Amours bergmaniennes. Ingmar Bergman ne l’a jamais épousée, certes, mais elle fut sa muse (une dizaine de films* dont quasi autant de chefs d’œuvre), la mère d’un de ses enfants, et selon ses propres termes — rapportés par l’actrice émue aux larmes — son Stradivarius.
Le prix d’une vie. Tobias Lindhom (co-scénariste entre autres du déprimant Submarino de Thomas Vinterberg et de la série Borgen, une femme au pouvoir* de Jeppe Gjervig Gram et Adam Price) a choisi pour son second film de nous plonger au cœur d’une guerre des nerfs aussi énergique qu’éprouvante**.
Nage ou crève. Le générique annonce d’emblée la couleur. Survivre (surprenant mélange de reconstitution fantasmatique et de réalisme documentaire) est une « histoire vraie », hommage de Baltasar Kormákur aux pêcheurs islandais qui périrent lors d’une tempête hivernale dans les années 80, compagnons d’infortune de Gulli (solide Ólafur Darri Ólafsson), grand nounours balourd et introverti dont le film va nous conter la prodigieuse équipée. Sans esbroufe, ni pathos exacerbé.
Oyez ! Oyez !
Le Festival du Film Coréen à Paris fête en 2012 sa 7ème édition avec un programme des plus alléchants et prend ses quartiers, du 30 octobre au 6 novembre, au cinéma St André des Arts (qui est accessoirement le premier cinéma de Paris où je suis venue me vautrer lors de mon installation au siècle dernier dans la capitale).
Résumé de l’épisode précédent. Petit compte rendu à venir en fin de week-end sur un samedi nanardesque et proprement hallucinatoire (pourtant promis juré je fume plus rien).
Résumé de l’épisode précédent. Même si les films vus vendredi soir n’atteignent pas des sommets, comparés aux nouilles avariées de jeudi, les mets m’ont paru délicieux.
Résumé de l’épisode précédent. Il y a des jours comme ça où rien ne va et où l’on devrait s’abstenir de s’obstiner. Et aller se coucher.
Résumé de l’épisode précédent. Se reporter au compte-rendu de la rencontre avec Mathieu Seiler du 12 septembre.
Rencontre avec Mathieu Seiler du 8/09/2012. La journée d’hier était donc consacrée à la découverte de l’œuvre de Mathieu Seiler avec la projection de deux courts métrages Hochgenung et Girl on red couch puis du Cadeau de Stéfanie et enfin, de son petit dernier, Der Ausflug.
Résumé de l’épisode précédent. Hier était mon dernier jour de vacances ensoleillées à passer enfermée dans une salle de cinéma. A partir d’aujourd’hui, le boulot reprend (la pluie aussi, vous l’aurez noté), je fais donc maigre.
Résumé de l’épisode précédent. Journée passable, une migraine ophtalmique m’empêchant de réfléchir profiter pleinement du petit programme que j’avais concocté.