Oyez ! Oyez !
Les festivals et autres rétrospectives commencent à se bousculer au portillon. Le Forum des Images, quant à lui, fêtera le Cinéma d’animation pour son 13e Carrefour, du 3 au 6 décembre prochain.
Oyez ! Oyez !
Les festivals et autres rétrospectives commencent à se bousculer au portillon. Le Forum des Images, quant à lui, fêtera le Cinéma d’animation pour son 13e Carrefour, du 3 au 6 décembre prochain.
Sous les étoiles du Grand Rex. Le palmarès est connu, certes, et question long-métrages, a fait la part belle au cinéma français de genre (Effet boomerang des derniers événements ?) mais ont surtout été récompensés deux réalisateurs iconoclastes, construisant une œuvre personnelle sur le (trop) long cours — chacun a mis 10 ans à faire son second long métrage — et partageant à l’occasion un même producteur, Jérome Vidal, présent lors du PIFFF. Côté courts, c’est autant l’humour que l’amour qui ont séduit les jurys.
En attendant le Journal de bord du PIFFF 2015. Après les tragiques événements qui ont secoué la capitale, il était essentiel de lutter contre l’envie de se cloitrer chez soi et de se réfugier sous la couette. Important aussi, envers et malgré tout, que les festivals continuent — comme Un état du monde… et du cinéma au Forum des Images qui a respectueusement fermé ses portes le week-end pour les rouvrir ensuite à tous spectateurs désireux d’aller à la rencontre de réalisatrices tunisiennes et de cinéastes cubains — ou soient maintenus.
Droits humains à l’honneur et courts métrages en compétition. La 6e édition du Festival Cinéma & Droits Humains, qui honorait cette année l’écrivain et blogueur Raif Badawi, s’est achevée sur l’excellent quoiqu’éprouvant — tant le mépris, l’impudence et le machisme bas du bulbe des bourreaux sont insupportables — documentaire Burden of peace de Joey Boink & Sander Wirken consacré à la lutte menée contre l’impunité par la première femme procureur général du Guatemala, Claudia Paz y Paz ; projection qui précédait la cérémonie de clôture, quatre prix devant récompenser les courts métrages en compétition.
Pluie d’étoiles sur la 10e édition du FFCP. Les mois d’octobre/novembre étant particulièrement surchargés et le temps manquant, voici tout de même un petit tableau étoilé sur la dernière programmation en date du Festival du Film Coréen à Paris avec une section Paysage [Programmation orchestrée par David T., taulier dans le civil de L’impossible blog ciné] et des Shortcuts d’une qualité si irréprochable que rendez-vous est déjà pris pour la 11e édition du FFCP.
Pluie d’étoiles sur L’Étrange Festival. La XXIe édition de L’Étrange Festival s’est achevé dimanche 13 septembre [Je suis à la bourre, oui ! Je sais] avec la proclamation du palmarès — comme à mon habitude désormais, je n’ai pas vu le long métrage qui a eu la faveur du public — et la projection de la première partie du blockbuster indien Baahubali: the beginning de SS Rajamouli, déjà auteur d’un réjouissant Eega.
A savoir : Suite aux récents événements, le Festival est maintenu mais la fête qui devait suivre la cérémonie d’ouverture et se tenir au Rex Club a été annulée.
Oyez ! Oyez chers aficionados !
Le cycle Séoul hypnotique sis au Forum des Images ne sera pas achevé que débutera la 10e édition du Festival du Film Coréen à Paris qui prendra ses quartiers au Publicis Cinémas du 27 octobre au 3 novembre prochain.
Oyez, oyez !
Rituel de rentrée oblige, L’Étrange Festival prend ses quartiers au Forum des Images du 3 au 13 septembre 2015, et histoire de ne guère perdre de singulières habitudes, le programme est particulièrement fourni cette année de films mortifères, curieux, surprenants et ô surprise, la Nuit de l’étrange revient pour le bonheur des noctambules amateurs de bizarreries en tous genres.
Pluie d’étoiles sur La Rochelle. Certes, un petit journal de mes activités rochelaises s’imposerait mais comme vous l’avez remarqué le blog s’éteint petit à petit, tout autant que mon énergie.
Oyez ! Oyez !
Avis aux cinéphiles/phages parisiens qui ne s’en remettent toujours pas.
Oyez ! Oyez !
Après son annulation l’année passée pour cause de violentes insurrections, c’est du 4 au 10 mars 2015 que se tiendra finalement au Reflet Médicis la 1ère édition du Festival du Cinéma Vénézuélien à Paris. Tandis que la cérémonie d’ouverture s’invitera le 3 mars, au cinéma L’Arlequin, en présence de Miguel Ferrari, réalisateur de Azul y no tan Rosa.
Pluie d’étoiles sur Vesoul. Un petit bilan s’imposerait certes mais le manque de temps d’une part et d’autres raisons, retards, obligations et moult dérangements indépendants de ma volonté d’autre part, vont m’obliger à reporter quelque peu mes avis sur les — j’ai pris le temps de compter les courts, moyens et longs métrages vus — 42 films dévorés à l’occasion du Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul.
Les beaux choix des jurys et le triomphe des Philippines. C’est au Théâtre Edwige Feuillère de Vesoul, là où la 21e édition a été lancée le 10 février dernier lors d’une soirée où Wang Chao, président du Jury International a reçu un Cyclo d’or d’honneur pour l’ensemble de sa carrière, que se clôture cet excellent cru du FICA 2015, dans la joie, la bonne humeur et du talent à revendre.
Les lauréats du FFAST 3e édition. Ayant fait l’impasse sur la cérémonie de clôture qui se tenait au Reflet Médicis pour cause de départ à Vesoul, j’y ai recroisé dans les salles du cinéma Majestic quelques membres du staff du FFAST, Hélène et Camille.
Oyez ! Oyez !
Le Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul fête cette année sa 21e année d’existence et met la Chine, l’Iran et le Laos à l’honneur.
1 mobile • 1 minute • 1 film. Pour la 10e édition du Mobile Film Festival créé en 2005 par Bruno Smadja de MobilEvent, 52 films venus de tous horizons ont été retenus pour tenter de remporter l’un des prix attribués par le jury* présidé cette année par Gérard Krawczyk :
Du lauréat sexy, des serial-killers et un ogre. Le plus difficile dans un festival est d’essayer de faire en sorte de ne pas se tromper de film — argh ! ce choix que l’on maudit parfois en entendant parler avec enthousiasme les sortants d’une salle adjacente ! — et de tenter, surtout ici au FFCP, d’en voir un maximum (manie de cinéphage qui se respecte).
FFCP 2014, 9e édition. Drame marin lors de la cérémonie d’ouverture.
Festival hors des murs parisiens, deuxième ! Après l’aventure vietnamienne à Saint-Malo*, je me suis décidée à filer à Nantes pour visiter la Colombie et plus si affinités alors que je caressais depuis quelques semaines de passer à Amiens chevaucher des licornes dans la paume de Kong. Gageons qu’il ne s’agit là que d’une partie remise et que je saurais mieux m’organiser en 2015…