Les lois de la nature. Nul besoin d’être versé dans les mathématiques pour goûter tout le suc de cette petite friandise sortie des Studios Aardman.
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Enfer et caméras putréfiées !
Après moult atermoiements — et quelques obligations — voici le programme aux petits oignons que je me suis concocté pour cette 10e édition du Festival Paris Cinéma en espérant pouvoir tenir la distance, ne pas égarer mon agenda et survivre à deux nuits blanches.
Oyez, oyez les parisiens !
Comme chaque année, le festival international d’animation d’Annecy s’installe pour un week-end au Forum des images.
Oyez ! Oyez !
Comme chaque année, depuis 2003, Paris s’offre son festival à l’orée de l’été, du 29 juin au 10 juillet.
La ballade sauvage. La Grande Bretagne randonneuse est en danger. Tina (petite souris effacée qui rêve d’un autre maître que sa mère) et Chris (géant roux intolérant et bas du front se réinventant en grand écrivain-explorateur) ont eu le tort de se rencontrer et de se plaire.
Et zut ! C’est chaque année la même chose. Tandis que le Forum des images accueille la 44e édition de la Quinzaine des Réalisateurs, le Reflet Médicis s’empare de la sélection Un certain regard et La 51e Semaine de la Critique s’installe à la Cinémathèque Française.
Oyez ! Oyez les Parisiens !
Comme l’année passée, le Forum des images qui accueille — du 31 mai au 10 juin — la 44e édition de la Quinzaine des Réalisateurs, vous offre un tour du monde en une trentaine de films et des rencontres avec leurs réalisateurs.
M’étant quelque peu éclipsée de Twitter ces temps derniers, la récolte du mois est bien mince.
> NOUVELLES DU FRONT
Reprise en douceur du blog, tandis que Panoptique ferme ses portes laissant ainsi à Nightswimming du temps pour repeindre ses murs.
> CINÉMA
To live and d[r]i[v]e in LA. L’homme sans nom de Drive préfère à n’en point douter l’asphalte aux hautes plaines mais ses principes sont tout aussi persistants.
L’ange exterminateur. La cloche de l’enfer, sous ses oripeaux de conte mi-fantastique mi-horrifique, est avant tout une critique sulfureuse du régime franquiste. Le tournage fut endeuillé par l’accident tragique qui coûta la vie à son jeune réalisateur, Claude Guérin, qui chut — ou sauta, le mystère reste entier — de l’impressionnant clocher de l’église galicienne, décor récurrent du film. Ce dernier fut alors achevé selon différentes sources par Juan Antonio Bardem, assisté du scénariste Santiago Moncada.
Danse avec les ninjas. Produit par la Nikkatsu, sous le label Sushi Typhoon — Sa mission : réaliser des films foufous avec 3 yens, voire moins — Alien vs. Ninja ne ment pas sur la marchandise. Il y a des ninjas en goguette et de l’alien carnassier qui s’écrase sur terre, non loin d’une rencontre impromptue entre deux factions.
Les dingos sont de sortie. Un homme à l’air effrayé (Martin Landau nettement plus allumé que dans Cosmos 1999) pénètre dans un snack bar. Le cuisinier s’est fait la tête de Donald Pleasence et, un grand hachoir à la main, se précipite pour l’ouvrir en deux le prenant pour un quartier de bœuf. Martin pousse des cris d’orfraie et se réveille. Ça n’était qu’un mauvais rêve. Ouf !
Sushi teub. Dans un salon de massage qui ne paie pas de mine et où les prestations sont à la portée de toutes les bourses — jeu de mot — un client plus que satisfait du service n’en peut plus de joie lorsque son hôtesse décide de déguster son membre triomphant à la manière d’un sushi roll*. Mais la dame a grande faim semble-t-il et l’homme expire dans un orgasme sanglant.
Je te tiens, tu me tiens par la corruption. Qu’on se le dise, le jeu le plus prisé en Corée est la corruption de fonctionnaires, et ce, à tous les niveaux de l’état. Du moins si l’on en croit le dernier film de Seung-wan Ryoo, réalisateur en 2006 d’un City of violence d’excellente facture.
A chacun son dû. Kill list, deuxième long métrage de Ben Wheatley, est de ces films qu’il vaut mieux découvrir vierge de toute information.
Haute trahison. Diable, qu’être espion doit être fichtrement ennuyeux !
Bienvenido a San Miguel : narcos, bling-bling e decapitación. Ay, caramba ! Le gouvernement mexicain n’a semble-t-il guère été heureux de la contribution de Luis Estrada aux agapes prévues pour la célébration des 200 ans de l’indépendance et du centenaire de la révolution, car l’ingrat, bien qu’ayant encaissé quelques pesos de ses bienfaiteurs aux fins de mener à bien son projet, ne leur en a pas moins retourné un gros glaviot dans la face en guise de remerciements.
Oyez ! Oyez !
La 17e édition de l’Étrange Festival s’installe au Forum des Images du 2 au 11 septembre prochain et offre cette année une quinzaine de thématiques :