Mon petit programme skolimowskien en diable des lundi 4 et 11 juillet. Je garde quelqu’espoir pour d’autres projections si mes visites au Forum des Images m’en offrent l’opportunité.
Category Archive: Festival
Oyez ! Oyez !
Cinéma bis mexicain, Roman porno japonais, Filipino fever et Femmes vampires — en sus d’un hommage à Jean Rollin disparu en décembre dernier —, telles sont les réjouissances proposées par le Forum des Images.
Pleins feux sur :
Reconstruction. Bonne nouvelle ! Le cinéma autrichien ne se réduit pas au scalpel de Michael Haneke.
Cœur de cendres. Contrairement à ce que l’on pourrait attendre, Eldfjall, premier film de prime abord fort lugubre de Rúnar Rúnarsson n’est en rien un documentaire sur l’éruption des volcans aux petits noms charmants — Eyjafjöll et Grímsvötn — bien qu’imprononçables pour les 3/4 de la planète qu’ils ont inquiétée.
Oyez ! Oyez !
Parisiens chanceux ! La quarantaine de films (courts et longs) sélectionnés pour la 43e Quinzaine des Réalisateurs sera projeté au Forum des images du 25 mai au 5 juin prochains.
Pleins feux sur :
Oyez, oyez !
Du 14 au 17 octobre 2010, les courts métrages investissent la capitale — et plus précisément le Cinéma des cinéastes — pour la 6e édition du Festival International Paris Courts Devant, soit des œuvres venues de tous horizons et classées en six thématiques.
Home sweet home. Chair Amie de Pierre Adrien_2009 a eu l’insigne honneur de débuter la compétition de programme courts de L’Etrange Festival 2010.
Creux ennui. Amis scatos, bonjour…
Irréversible. Les histoires d’amour finissant mal en général, Backwards (A l’envers) d’Aaaron Hughes_2009 ne déroge pas à la règle.
Planète interdite. Un montre sanguinaire sévit sur une planète hostile…
Bloody Christmas. Réalisé en 2008 avec quatre bouts de ficelle et une bonne humeur contagieuse par Jason Eisener, Treevenge a été présenté dimanche à L’Etrange Festival avant la projection de L.A. Zombies de Bruce La Bruce et mis les spectateurs en joie.
Déviances. Les festivités ont donc débuté pour moi vendredi en fin de soirée avec Bedevilled de Jang Cheol-Soo_2010 et se sont poursuivies hier en compagnie du toujours inénarrable Alejandro Jodorowski exposant son décryptage psycho-chakra-sexuel du Magicien d’Oz/The wizard of Oz de Victor Fleming_1939 ; le clou du spectacle ayant été atteint lorsque le bonhomme se fourvoya sur le film présenté, soit Larmes de clown de Victor Sjöström en lieu et place de The unknown, chef d’œuvre du duo Browning-Chaney et référence implicite de Santa Sangre_1989.
Danse de mort. Revenu aux affaires après un passage à vide dû pour une grande part à l’incompréhension totale que son mythique La marque du tueur/Koroshi no rakuin_1967 (qui permit à son acteur de prédilection au faciès de hamster, Jo Shishido, de briller une nouvelle fois en tueur cynique et désinvolte) généra dans le cerveau inquiet du président de la Nikkatsu, productrice du film, Seijun Suzuki change radicalement de style au risque de perdre ses admirateurs.
Pas un yuan d’espoir. Côté grandes échappées vers un Eldorado fantasmé, si les cubains ou les africains risquent la noyade et les mexicains la déshydratation, les nord-coréens ont manifestement la possibilité de finir comme la petite marchande d’allumettes, gelés sur la rivière Tumen qui les sépare de leurs voisins chinois.
Faux mouvements. Programmé au Festival Paris Cinéma, Orly d’Angela Schanelec offre avant tout le bonheur de retrouver la bien trop rare Mireille Perrier.
Courts Primés. Malgré la « Fête du cinéma », il n’y avait malheureusement pas grand monde au Max Linder le 30 juin pour la projection parisienne clôturant la tournée hexagonale de la 4e édition des Nuits en or du court-métrage, destinées à promouvoir 9 films primés par les académies les plus prestigieuses.
Kitano en format court. Dans son Kitano par Kitano, le réalisateur ne cache pas sa joie* d’avoir été choisi pour participer à Chacun son cinéma ou Ce petit coup au cœur quand la lumière s’éteint et que le film commence, film collectif de commande pour les 60 ans du Festival de Cannes, aux côtés d’une trentaine de réalisateurs internationaux dont il énonce fièrement les noms.
Du court et du meilleur. Voici un petit compte rendu* de la soirée Aux courts d’un soir**, avec quelques liens qui vous permettront de vous faire une idée des pelloches présentées, films dont la haute tenue — et d’excellentes interprétations — laissent présager d’un bel avenir cinématographique.