Oyez ! Oyez !

Jamais deux sans trois ! Pour ne pas faire mentir l’adage, je serai donc de retour, du 15 au 21 octobre prochains, au Festival International du Film Indépendant de Bordeaux qui fête sa 8e année d’existence sous le regard de Garance Marillier, filmée par Virgil Vernier, lauréat en 2018 du Prix du Long Métrage français pour Sophia Antipolis.

Oyez ! Oyez !

A peine le palmarès de la 8e édition du PIFFF* annoncé qu’un nouveau festival nous tend ses sièges au Forum des Images qui accueille dès ce soir — avec la projection en avant-première** de Another Day of Life de Raúl de la Fuente & Damian Nenow — et jusqu’au 16 décembre, la 16e édition du Carrefour du Cinéma d’Animation.

Oyez ! Oyez !

L’association Regard Indépendant toute entière dédiée au super8, présidée par Vincent Jourdan, fondateur du blog Inisfree durant ses loisirs, mais aussi auteur de textes Sur les pistes de John Ford, et d’une monographie sur Sergio Corbucci (à paraitre aux Editions Lettmotif en juillet prochain), vous invite du 30 novembre au 2 décembre à ses 19e rencontres Cinéma et Vidéo.

Oyez ! Oyez !

Le PIFFF s’achèvera à peine au Max Linder que se tiendra au Forum des Images, du 13 au 17 décembre 2017, la 15e édition du Carrefour du Cinéma d’Animation, placée cette année sous le signe du pays du soleil levant pour fêter dignement le centenaire de l’animation japonaise.

Anarchy in the UK. Dans la série, « 2016, l’année où il fait bon disparaître », c’est au tour d’Alan Rickman [pour mémoire, l’onctueux psychopathe Hans Gruber de Die Hard de John McTiernan_1988 bien sûr ou le mari bafoué de Close my eyes de Stephen Poliakoff_1991 et ce frappadingue de Shérif de Nottingham comme surgi d’un Tex Avery épileptique dans Robin Hood, prince of thieves de Kevin Reynolds_1991, mais surtout Jamie, le violoncelliste mort d’un rhume qui revient encombrer sa bien-aimée pour mieux l’aider à refaire sa vie dans le sublime Truly, madly, deeply de Anthony Minghella_1990.

La rubrique fait son grand retour ! Après une longue absence — l’épisode #18 date d’octobre dernier —, une actualité invivable, moult événements et une villégiature inconstante sur ma timeline, il est plus que temps que le cinéma retrouve ses marques, fussent-elles compressées en 140 signes. 

La collection Cheech Marin 1980_2010 . Cheech Marin n’est pas seulement l’une des têtes enfumées du duo Cheech & Chong, héros de Faut trouver le joint/Up in smoke de Lou Adler_1978 ou un fidèle de Robert Rodriguez — le Chet Pussy de Une nuit en enfer/From dusk till dawn_1996, le barman hargneux de Desperado 2_2003 ou le prêtre sulfateur de Machete_2010 —, il est également un ardent défenseur de la cause chicana et un collectionneur depuis plus de 30 ans d’œuvres majeures d’artistes mexicains-américains.

Désolée pour les 3 personnes qui estiment que cette rubrique ne représente aucun intérêt mais comme bien d’autres l’ont plébiscitée, elle va sans nul doute se muer en post bi-dominical ou presque ; selon les récoltes et dans une version bien évidemment réduite à la portion congrue pour éviter tout risque d’écœurement.

Avant de m’éloigner quelque peu de Twitter et autres réseaux sociaux pour me consacrer à de saines et hautes lectures et profiter au mieux des projections et rétrospectives à venir, voici quelques liens glanés deci-delà chez mes twittos préférés (que ceux qui ne sont pas listés ci-dessous n’en prennent pas ombrage, ils sont lus et suivis avec la même attention).