Peindre le monde en nuances de gris(1). Répondant avec quelques réticences, sur lesquelles il s’étendra sans fard, à une commande des éditions Mishima, Hirokazu KORE-EDA a accepté de rédiger un ouvrage-patchwork entremêlant souvenirs autobiographiques et réflexions sur le cinéma et notamment son dada, l’importance de l’image et la recherche de la vérité, cette dernière fut-elle parfois aménagée.

Si j'étais critique de cinéma, je suivrais la règle (du jeu) contenue dans cette phrase de Jean Renoir : "Ne perdez pas de temps à dire du mal des films que vous détestez, parlez plutôt des films que vous aimez et partagez votre plaisir avec les autres".

Désolée pour les 3 personnes qui estiment que cette rubrique ne représente aucun intérêt mais comme bien d’autres l’ont plébiscitée, elle va sans nul doute se muer en post bi-dominical ou presque ; selon les récoltes et dans une version bien évidemment réduite à la portion congrue pour éviter tout risque d’écœurement.