L’an 1959 dans le viseur de Zoom Arrière. Pour certain(e)s, l’année 69 sera érotique mais reconnaissons que pour les cinéphiles, 1959 fut d’ores et déjà sacrément bandante.
Category Archive: Rétrospective
L’an 1958 dans le viseur de Zoom Arrière. Les années se suivent mais ne se ressemblent guère. Sur 600 sorties répertoriées par Encyclo-ciné, je n’ai vu que 59 films.
L’an 1957 dans le viseur de Zoom Arrière. Quand on ne peut aller au cinéma, restent les souvenirs.
L’an 1956 dans le viseur de Zoom Arrière. Et nous voici déjà en 1956 (grande année, et pour cause ! dont le numéro 1 n’étonnera personne, je n’en doute guère) en compagnie de mes compères de Zoom arrière et c’est le taulier du Journal cinéma du dr Orlof qui s’est chargé de l’édito de l’année.
Oyez ! Oyez !
La Belgique a envahi Paris, et ce, jusqu’au 9 juillet, mais la Cinémathèque nous invite à partir pour quelques semaines à la rencontre d’un romain.
L’an 1955 dans le viseur de Zoom Arrière. 1955 fut une belle année et ce ne sont certes pas mes compères de Zoom arrière qui me contrediront. L’édito de cette année est signé d’Edouard, taulier de Nightswimming.
L’an 1954 dans le viseur de Zoom Arrière. Et nous revoilà, la fine équipe de Zoom arrière et moi-même pour nous souvenir des sorties de 1954 [680 films si l’on en croit Encyclo-Ciné et je n’en ai vu que 57].
L’an 1953 dans le viseur de Zoom Arrière. 63 films vus sur les 744 sortis en 1953 [Source : Encyclo-ciné] et le western ne s’est jamais aussi bien porté…
L’an 1952 dans le viseur de Zoom Arrière. Nous revoici en compagnie de Zoom arrière ! Et en cette belle année 1952 (présentée par le taulier du Journal Cinéma du Dr Orlof), une jolie moisson de 56 films sur les 666 enregistrés par Encyclo-ciné et pas grand chose à jeter, quoique.
L’an 1951 dans le viseur de Zoom Arrière. Une moisson de 41 films seulement sur les 719 [répertoriés par encyclo-ciné] sortis en 1951, mais quasiment que de la balle !
Oyez ! Oyez !
Avant de louvoyer en France avec la rétrospective Robert Guédiguian [du 6 au 24 février 2013] et l’hommage à Maurice Pialat [du 20 février au 4 mars 2013], la Cinémathèque propose une escale italienne en compagnie de Luigi Comencini.
Oyez ! Oyez !
Alors que l’Apocalypse vient à peine de s’achever, le Forum des Images vous propose un tour de Chine, de Pékin à Taipei, en compagnie entre autres de Zhang Yang, Cui Zi’en, Peng Xiaolian et Lou Ye, pour un périple de deux mois qui s’achèvera avec une révision des classiques de Wong Kar Wai.
Voici venu le temps des rires et des chants du top annuel. Et pour sûr, j’ai certainement oublié quelques films…
L’an 1949 dans le viseur de Zoom Arrière. 642 sorties selon Encyclo-Ciné, 57 films vus classés comme à mon habitude, selon mon bon plaisir.
Oyez ! Oyez !
Avant la rentrée et les hommages rendus à Luigi Comencini (du 9 janvier au 3 mars 2013) ou Maurice Pialat (du 20 février au 4 mars 2013) et la rétrospective Robert Guédiguian (du 6 au 24 février 2013), la Cinémathèque nous offre — en partenariat avec le Festival des 3 continents — l’opportunité de découvrir l’intégralité de l’œuvre de Shinji Somai, dont le singulier Love hotel a été projeté en décembre dernier à l’occasion du Centenaire de la Nikkatsu.
Oyez ! Oyez !
Avant que n’y débute l’Apocalypse, le Forum des images fait d’une pierre deux coups, du 30 novembre au 9 décembre, avec son festival Etat du monde …et du cinéma en offrant au public une rétrospective de l’œuvre de Brillante Mendoza (découverte pour ma part en 2008 au Festival Paris Cinéma, les Philippines étant alors à l’honneur).
L’an 1948 dans le viseur de Zoom Arrière. Voici un nouvel épisode du petit rendez-vous auquel Zoom arrière nous convie depuis quelques mois — avec cette année, un édito signé par ce bon Dr Orlof.
L’an 1947 dans le viseur de Zoom Arrière. La machine s’emballe chez Zoom arrière ; nous voici déjà en 1947
Oyez ! Oyez !
Tandis que la Cinémathèque continue de rendre un hommage mérité à la carrière de Jean-Louis Trintignant et ce, jusqu’au 12 novembre prochain, les deux cycles qui s’annoncent seront pour moi l’occasion de découvrir tout d’abord la courte carrière d’Uri Zohar, réalisateur primé à Cannes en 1967 et devenu depuis rabbin ultra-orthodoxe (!), puis de mieux appréhender l’univers de Naomi Kawase dont je n’ai vu que les premier [Mœ no suzaku, Caméra d’or 1997 à Cannes] et dernier [l’hypnotique Hanezu, l’esprit des montagnes] films.