L’an 1946 dans le viseur de Zoom Arrière. Cette année, c’est sous la houlette du taulier de Inisfree que Zoom Arrière continue son aventure.
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L’an 1945 dans le viseur de Zoom Arrière. Dans la perspective de fêter la naissance d’un nouveau blog total’ vintage, j’ai nommé Zoom arrière commis par Le club des 5 et consorts [fait qui n’étonnera guère ceux qui connaissent le goût du taulier de Nightswimming pour les tableaux étoilés], voici donc — pour répondre aux mieux à son Sur vos écrans en 1945 — mes préférences pour les films sortis cette année là, petit top sans étoile, les premiers titres brillant par eux-mêmes.
Oyez ! Oyez ! bande de privilégié(e)s !
Décidément, à la rentrée, les rétrospectives et autres festivals se bousculent au portillon.
Oyez ! Oyez ! parisiennes et parisiens !
Dès le 30 août*, la Cinémathèque Française entame un cycle Otto Preminger et ce, jusqu’au 8 octobre 2012, où l’occasion sera trop belle de (re)voir ses classiques et (re)découvrir les belles plantes vénéneuses — Gene Tierney, Jean Simmons ou Lee Remick — qu’il sût valoriser de si heureuse manière.
Oyez ! Oyez !
C’est en pleines festivités cinématographiques que démarre à la Cinémathèque un cycle consacré à Edgar G. Ulmer, qui s’achèvera — comme Egyptomania — le 5 août prochain.
Sur quelques films de 2011. Il est plus que temps de sacrifier comme chaque année au fameux marronnier des cinéphiles de tous poils, soit annoncer le top des tops cinéma.
Oyez ! Oyez !
La Nikkatsu, vénérable vieille dame — parfois indigne — du cinéma japonais fête son centenaire à La Cinémathèque française qui propose, du 7 décembre au 20 janvier 2012, une rétrospective d’une quarantaine de films, rares ou inédits. Cette programmation permettra entre autres de (re)découvrir sur grand écran deux folies de Seijun Suzuki (éditées par HK vidéo, gloire à eux !).
Et ce, dans l’ordre d’apparition à l’écran, sans préférence, ni débat, pour le plaisir d’offrir un petit panorama.
Le Corbucci-Godard Blogathon 2. Deuxième épisode de ma modeste contribution au Blogathon Corbucci/Godard de Vincent d’Inisfree et — après Le questionnaire Godard — le post d’aujourd’hui sera, de fait, consacré à Corbucci, le troisième grand Sergio du cinéma italien.
Carne. Le court-métrage Viandes amoureuses/Zamilované maso réalisé en 1989 et d’une durée d’une minute à peine, a été présenté dans la théma Eros, lors de la rétrospective consacrée à l’œuvre de Jan Švankmajer.
Franz pour mémoire. L’appartement/Byt — réalisé en 1968 — a été présenté dans la théma Peurs de la rétrospective consacrée à l’œuvre de Jan Švankmajer.
Je t’aime, je te mange.
Voici Jiný druh lásky/Une autre sorte d’amour présenté dimanche lors de l’intégrale Jan Švankmajer au Forum des Images.
La leçon de cinéma. Cette leçon commence par un jeu. Celui que Pascal Vimenet, réalisateur, critique, spécialiste du cinéma d’animation et coordinateur de l’ouvrage collectif Švankmajer E & J Bouche à bouche, a instauré après une rapide introduction sur ses rencontres avec Jan Švankmajer. Soit, présenter une série de photogrammes au réalisateur, puis le laisser s’exprimer au gré de ses envies et de ses souvenirs.
L’intégrale Jan Švankmajer a donc débutée hier au Forum des images dans une salle plus que comble où était présentée en avant-première et en présence du réalisateur, une charge féroce contre la psychanalyse, Survivre à sa vie (Théorie et pratique)/Prezít svuj zivot (teorie a praxe)_2010.
Oyez, oyez !
Le Forum des Images propose aux fans d’animation de (re)découvrir sur grand écran l’intégralité des œuvres de Jan Švankmajer et ce, du 26 au 31 octobre 2010.
Déviances. Les festivités ont donc débuté pour moi vendredi en fin de soirée avec Bedevilled de Jang Cheol-Soo_2010 et se sont poursuivies hier en compagnie du toujours inénarrable Alejandro Jodorowski exposant son décryptage psycho-chakra-sexuel du Magicien d’Oz/The wizard of Oz de Victor Fleming_1939 ; le clou du spectacle ayant été atteint lorsque le bonhomme se fourvoya sur le film présenté, soit Larmes de clown de Victor Sjöström en lieu et place de The unknown, chef d’œuvre du duo Browning-Chaney et référence implicite de Santa Sangre_1989.
Danse de mort. Revenu aux affaires après un passage à vide dû pour une grande part à l’incompréhension totale que son mythique La marque du tueur/Koroshi no rakuin_1967 (qui permit à son acteur de prédilection au faciès de hamster, Jo Shishido, de briller une nouvelle fois en tueur cynique et désinvolte) généra dans le cerveau inquiet du président de la Nikkatsu, productrice du film, Seijun Suzuki change radicalement de style au risque de perdre ses admirateurs.
Y a d’la joie ! Le XXIe siècle est en marche. Guerres, représailles, folie (douce ou pas) et dépressions à tous les étages…
Années 90. Rebelles, révoltes, individualismes retors et égos démesurés sont de la fête.