L’an 1949 dans le viseur de Zoom Arrière. 634 sorties selon Encyclo-Ciné, 57 films vus classés comme à mon habitude, selon mon bon plaisir.
Poursuite de notre voyage dans le temps en compagnie de Zoom arrière où le taulier de Nightswimming s’est fendu d’un édito.
La neuvaine prodigieuse
- Le narcisse noir/Black narcissus de Michael Powell et Emmerich Pressburger_1946
- Les chaussons rouges/The red shoes de Michael Powell et Emmerich Pressburger_1948
- La chasse à l’homme/Man hunt de Fritz Lang_1941
- La rivière rouge/Red river de Howard Hawks_1948
- La griffe du passé/Out of the past de Jacques Tourneur_1947
- Le trésor de la Sierra Madre/The treasure of the Sierra Madre de John Huston_1947
- Le troisième Homme/The third man de Carol Reed_1949
- Chaînes conjugales/A letter to three wives de Joseph-Leo Mankiewicz_1949
- Bel Ami/The Private Affairs of Bel Ami d’Albert Lewin_1947
Le classique
- Le voleur de bicyclette/Ladri di biciclette de Vittorio De Sica_1947
Hors compétition
- Allemagne année zéro/Germania anno zero de Roberto Rossellini_1947
- Le Silence de la mer de Jean-Pierre Melville_1947
Le court-métrage
- Le sang des bêtes de Georges Franju_1949
Les excellentes pelloches
- Nous avons gagné ce soir/The set-up de Robert Wise_1949
- Le pirate/The pirate de Vincente Minnelli_1947 [Ai-je déjà causé de la passion folle que m’inspire le fondement de Gene Kelly ? oui, certainement]
- L’affaire Barbe Bleue/Bluebeard de Edgar G. Ulmer_1944
- Crime passionnel/Fallen angel de Otto Preminger_1945
- Allez coucher ailleurs/I was a male war bride de Howard Hawks_1949
- Berlin Express de Jacques Tourneur_1947
- Pour toi j’ai tué/Criss Cross de Robert Siodmak_1948
- Hangover Square de John Brahm_1945
- La scandaleuse de Berlin/A foreign affair de Billy Wilder_1948
- Les Marx Brothers au grand magasin/The big store de Charles Reisner_1941
- Riz amer/Riso amaro de Giuseppe De Santis_1949
- Cinquième colonne/Saboteur de Alfred Hitchcock_1942
- Key Largo de John Huston_1948
- Laurel et Hardy conscrits/The flying deuces de Edward Sutherland_1939
- La cité sans voiles/The naked city de Jules Dassin_1948
- Le champion/Champion de Mark Robson_1949
- Le grand passage/Northwest passage de King Vidor_1940
- Les insurgés/We were strangers de John Huston_1949
- Il marchait la nuit/He Walked by Night d’Alfred Werker & Anthony Mann_1948
À la rigueur
- L’ombre de l’introuvable/Shadow of the thin man de W. S. Van Dyke_1941
- La grande horloge/The big clock de John Farrow_1948
- La clé de verre/The glass key de Stuart Heisler_1942
- La femme aux cigarettes/Road house de Jean Negulesco_1948
- Echec à Borgia/Prince of foxes de Henry King_1949
- Et tournent les chevaux de bois/Ride the pink horse de Robert Montgomery_1947
- Ziegfeld Follies de Vincente Minnelli_1945
- Far West 89/Return of the bad men de Ray Enright_1948
- Rendez-vous de juillet de Jacques Becker_1949
- La dernière rafale/The street with no name de William Keighley_1948
- Le procès Paradine/The Paradine case de Alfred Hitchcock_1947
- L’homme au masque de fer/The man in the iron mask de James Whale_1939
- La femme en vert/The Woman in Green de Roy-William Neill_1945
La grande rigolade
- Les tuniques écarlates/Northwest mounted police de Cecil B. De Mille_1940
Pour les gamins
- Jody et le faon/The yearling de Clarence Brown_1946
- Une incroyable histoire/The window de Ted Tetzlaff_1949
Sitôt vus, déjà oubliés
- L’enjeu/State of the Union de Frank Capra_1948 [Autant l’avouer, je ne suis pas très fan du couple Tracy/Hepburn]
- La femme de l’année/The woman of the year de George Stevens_1942
- Branquignol de Robert Dhéry_1949
- Le laitier de Brooklyn/The kid from Brooklyn de Norman-Zenos McLeod_1946
- Au-delà des grilles de René Clément_1948
Les nanars
- Manon de Henri-Georges Clouzot_1948
- Les amants de Vérone de André Cayatte_1947
- L’Atlantide/Siren of Atlantis de Gregg Tallas, Arthur Ripley et John Brahm_1947
- Jeanne d’Arc/Joan of Arc de Victor Fleming_1948
- La fosse aux serpents/The snake pit de Anatole Litvak_1948
La confession du jour
Je suis parfaitement imperméable à l’humour et l’univers de Jacques Tati et Jour de fête_1947 ne change rien à l’affaire. Il n’y a sans doute que le sieur Hulot pour échapper de peu à mon indifférence, et encore.
Pas vu
- Les sacrifiés de John Ford [Et d’après Inisfree qui lui consacre un long texte, je suis censée le regretter]
À l’année prochaine !
À suivre…